Les interventions nationales, régionales et internationales possibles, y compris les coûts et avantages environnementaux, sociaux et économiques ;

Ce sont les déchets non collectés et non gérés par les pays qui se retrouvent en mer, avec des conséquences que nous connaissons. Nous devons donc nous attaquer directement au problème, à la source ; mais également à la problématique mondiale des déchets plastiques (fabrication, vente, et gestion en fin de vie), en créant et/ou appuyant des structures d’intervention internationale et régionale ; tout en renforçant les capacités des pays sous-développés à mieux faire face à la gestion quotidienne de leurs déchets.

L’avantage de telles initiatives, c’est la mise en commun des efforts au niveau régional et international, pour une meilleure synergie. Comme on dit, ce sont « les petits ruisseaux qui font de grandes rivières ». Les efforts individuels, si minimes soient-ils, coordonnés et concertés produiront de grands résultats.

Cela a évidemment un coût économique qui varie d’un pays à un autre. Les pays en voie de développement, comme les nôtre, ont besoin d’un appui particulier, tant sur le plan financier que technique, afin de pouvoir jouer pleinement leur rôle.